Après avoir fini la journée de pommes lundi vers 15h, on a donc foncé droit chez le fermier de framboises. C’est un peu plus loin encore de Devonport, c’est le seul souci (faut compter 90 kms aller-retour), mais il y a une autre ville à 5 kms même si elle est beaucoup plus petite (2000 habitants), Deloraine.
C’est sympa la ferme ici, ils ont un café très touristique qui vend les framboises toutes fraîches, on peut goûter le vinaigre à la framboise, la sauce à la framboise, la confiture de framboise, la framboise enrobée de chocolat… On s’est régalé (oui, parce que bien sûr, avant d’aller parler au fermier, on a commencé par un petit tour d’horizon de ces délices exposés devant nos yeux !). On a même craqué pour leurs glaces à la framboise (payant celles-là).
Ils ont même un site internet : http://www.raspberryfarmcafe.com/
Le fermier nous a très bien accueilli. Un premier progrès de noté par rapport à la ferme de pommes : ici, on rencontre directement le proprio alors qu’on sait même pas à quoi il ressemblait l’autre. Il nous a d’abord dit qu’il n’était pas sûr d’avoir assez de boulot pour nous 2, la saison démarrant tout juste, mais quand on lui a dit qu’on venait de la part de Jenny et Shin (les 2 Coréens), il s’est exclamé : « mais je vous attendais ! OK, vous démarrez mercredi 9h !! »
Ce qui montre 2 autres gros progrès par rapport aux pommes : 1/ le proprio retient les prénoms et connaît ses employés. 2/ On démarre à 9h et plus à 7h30 !! En plus, on termine entre 14 et 16h. Youhou !
3e point crucial, mais qu’il a relevé haut la main : la paye. Ici, c’est pas au cageot, c’est au seau (le « bucket »). Et on est payés 4$ par seau. Ca ne nous disait rien au début, mais quand on a retrouvé Shin et Jenny qui finissaient leur 2e jour de boulot (oui, on bosse le dimanche par contre ici), ils nous ont dit qu’ils avaient rempli 35 et 47 seaux chacun, soit un gain d’environ 120$ (75€) chacun ! Le double des pommes. Et sans gros sac à porter ni lanières qui coupent les épaules… C’était trop beau ! On n’a pas embrassé le fermier, mais presque… On démarre donc mercredi matin entre 8h30 et 9h. On bosse par mardi parce qu’il devait pleuvoir le lundi soir et que les framboises se ramassent pas humides (c’est pour ça aussi qu’on doit attendre 9h pour cueillir). Ca nous fait un jour de repos en plus. J’espère qu’il pleuvra pas ensuite pour qu’on accumule l’argent tant convoité…
Le fermier nous a très bien accueilli. Un premier progrès de noté par rapport à la ferme de pommes : ici, on rencontre directement le proprio alors qu’on sait même pas à quoi il ressemblait l’autre. Il nous a d’abord dit qu’il n’était pas sûr d’avoir assez de boulot pour nous 2, la saison démarrant tout juste, mais quand on lui a dit qu’on venait de la part de Jenny et Shin (les 2 Coréens), il s’est exclamé : « mais je vous attendais ! OK, vous démarrez mercredi 9h !! »
Ce qui montre 2 autres gros progrès par rapport aux pommes : 1/ le proprio retient les prénoms et connaît ses employés. 2/ On démarre à 9h et plus à 7h30 !! En plus, on termine entre 14 et 16h. Youhou !
3e point crucial, mais qu’il a relevé haut la main : la paye. Ici, c’est pas au cageot, c’est au seau (le « bucket »). Et on est payés 4$ par seau. Ca ne nous disait rien au début, mais quand on a retrouvé Shin et Jenny qui finissaient leur 2e jour de boulot (oui, on bosse le dimanche par contre ici), ils nous ont dit qu’ils avaient rempli 35 et 47 seaux chacun, soit un gain d’environ 120$ (75€) chacun ! Le double des pommes. Et sans gros sac à porter ni lanières qui coupent les épaules… C’était trop beau ! On n’a pas embrassé le fermier, mais presque… On démarre donc mercredi matin entre 8h30 et 9h. On bosse par mardi parce qu’il devait pleuvoir le lundi soir et que les framboises se ramassent pas humides (c’est pour ça aussi qu’on doit attendre 9h pour cueillir). Ca nous fait un jour de repos en plus. J’espère qu’il pleuvra pas ensuite pour qu’on accumule l’argent tant convoité…
En attendant de (re)démarrer, mardi on s'est surtout occupés de prévenir l'agence et la ferme qu'on les quittait (ils s'en foutaient d'ailleurs...) et on s'est promené dans Devonport avant d'aller à la plage.
2 commentaires:
hihihi très drôle tes histoires de framboises! C'est bon ces petites choses roses en plus ... Bon ben je suis de retour en France de mon côté, donc plus de nouveaux petits points rouges du côté nippon! Gros bisous miss
ben dis donc super les vacances !!! allez courage elles sont si belles ces petites framboises et tellement moins lourdes que ces fichues pommes !!!
En rentrant je t'apprendrai à faire des confitures...moi je suis allée les cueillir chez "PICARD" et elles sont très bonnes...mais moins belles
gros bisous à vous 2...anne ch se joint à moi
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