Image du jour : Je vous présente notre nouvelle ferme !!
Lundi, on est partis en mission « Recherche de boulot » après avoir profité un peu de la plage de Scarborough quand même (c’est si bon de lire sur le sable au soleil avec le spectacle des surfeurs !),
Scarborough Beach - le papa initie son bébé au surf
Ensuite, on est allés voir une agence près de la ville. Ils nous proposaient 2 offres : travailler dans une usine de glaces 20h par semaine ou dans une boulangerie de 18h à 6h du matin. Bien bon pour les papilles...
Pour avancer dans leurs propositions, il fallait que l’on revienne s’inscrire le lendemain avec des CV béton pour des petits boulots… Pas facile quand ceux-ci se résument à 1 week-end comme serveuse il y a 8 ans, 15 jours comme femme de chambre il y a 13 ans, 2 mois de vendeuse il y a 8 ans… Et je pense qu’ils se foutent des 4 ans d’expérience en marketing ces 6 dernières années ! Idem pour FX, même s’il a le grand avantage d’avoir une expérience de petit boulot qui ne remonte qu’à 2 ans ! Le CV à refaçonner est donc le 1er obstacle, pas insurmontable toutefois.
Autres obstacles plus gênants : la date de démarrage (dans 1 semaine), la paye pour l’usine de glaces (avec 20h par semaine, on va pas gagner grand chose) et les horaires de nuit pour la boulangerie (dur dur de tenir le rythme 1 mois).
A côté de ça, on a une piste depuis vendredi grâce à la « Harvest Line », le numéro de téléphone préféré des « backpackers » (voyageurs sacs au dos) en recherche de « fruit picking » partout en Australie. Vous vous souvenez de la cueillette des fruits ? C’est ce numéro qui diffuse les offres et nous met en contact avec les fermes qui recherchent de la main d’œuvre pour cueillir les fruits et légumes (« picking » - ce qu’on a fait en Tasmanie), planter des arbres (« planting » - un boulot très bien payé mais très difficile physiquement), empaqueter les produits (« packing »), tailler les arbres (« pruning »)...
Vendredi, ils nous ont donné le contact d’une ferme à 45 minutes au sud de Perth qui recherchent du monde pour un boulot qu’on ne connaissait pas encore : le « plant nursering ». C’est un genre de jardinage pour petites plantes et fleurs en pots. Ca a l’air intéressant donc on décide de se rendre sur place cet après-midi. En plus, on pourrait démarrer quand on veut, le boss m’a dit de venir dès qu’on avait envie de commencer !
La grande ville la plus proche de la « Canning Plant Farm » (c’est son nom) est Rockingham, sur la côte, environ 20 000 habitants. Mais la ferme est située près de Serpentine, à 30 kms de là dans les terres (pour voir sur la carte : http://maps.google.fr/maps?f=q&hl=fr&q=Hopeland+WA,+Australie&ie=UTF8&cd=2&geocode=0,-32.364427,115.901277&ll=-33.706063,115.905762&spn=4.432268,9.887695&z=7).
On y est allés pour repérer la route et on n’en est pas ressortis ! Non, ils ne nous ont pas kidnappés mais il s’avère qu’on peut dormir sur place gratos ! Comme pour la ferme de framboises en Tasmanie, on a des installations parfaites : parking pour dormir (celui de l’entreprise), petit jardin pour s’étendre au soleil, cuisine toute équipée et toilettes avec lavabo. Ne manque que la douche – un peu gênant, mais on peut aller aux douches chaudes du camping à 10 kms(euh… en fraudant) ou à celles froides de la plage à 15 kms (et là, c’est autorisé).
la cuisine - frigo, micro-ondes, four, rangements
et la terrasse très chouette pour se détendre
On a rencontré 2 Québécoises qui bossaient là jusqu’au lendemain et qui nous ont bien revendu le boulot en nous disant que c’était super relaxant, que tout le monde était gentil et qu’elles seraient bien restées plus longtemps si elles ne terminaient pas leur périple australien. On a donc passé la soirée à 4 à discuter avant d’aller dormir assez tôt, histoire d’attaquer la 1e journée de boulot le lendemain en forme…
Ensuite, on est allés voir une agence près de la ville. Ils nous proposaient 2 offres : travailler dans une usine de glaces 20h par semaine ou dans une boulangerie de 18h à 6h du matin. Bien bon pour les papilles...
Pour avancer dans leurs propositions, il fallait que l’on revienne s’inscrire le lendemain avec des CV béton pour des petits boulots… Pas facile quand ceux-ci se résument à 1 week-end comme serveuse il y a 8 ans, 15 jours comme femme de chambre il y a 13 ans, 2 mois de vendeuse il y a 8 ans… Et je pense qu’ils se foutent des 4 ans d’expérience en marketing ces 6 dernières années ! Idem pour FX, même s’il a le grand avantage d’avoir une expérience de petit boulot qui ne remonte qu’à 2 ans ! Le CV à refaçonner est donc le 1er obstacle, pas insurmontable toutefois.
Autres obstacles plus gênants : la date de démarrage (dans 1 semaine), la paye pour l’usine de glaces (avec 20h par semaine, on va pas gagner grand chose) et les horaires de nuit pour la boulangerie (dur dur de tenir le rythme 1 mois).
A côté de ça, on a une piste depuis vendredi grâce à la « Harvest Line », le numéro de téléphone préféré des « backpackers » (voyageurs sacs au dos) en recherche de « fruit picking » partout en Australie. Vous vous souvenez de la cueillette des fruits ? C’est ce numéro qui diffuse les offres et nous met en contact avec les fermes qui recherchent de la main d’œuvre pour cueillir les fruits et légumes (« picking » - ce qu’on a fait en Tasmanie), planter des arbres (« planting » - un boulot très bien payé mais très difficile physiquement), empaqueter les produits (« packing »), tailler les arbres (« pruning »)...
Vendredi, ils nous ont donné le contact d’une ferme à 45 minutes au sud de Perth qui recherchent du monde pour un boulot qu’on ne connaissait pas encore : le « plant nursering ». C’est un genre de jardinage pour petites plantes et fleurs en pots. Ca a l’air intéressant donc on décide de se rendre sur place cet après-midi. En plus, on pourrait démarrer quand on veut, le boss m’a dit de venir dès qu’on avait envie de commencer !
La grande ville la plus proche de la « Canning Plant Farm » (c’est son nom) est Rockingham, sur la côte, environ 20 000 habitants. Mais la ferme est située près de Serpentine, à 30 kms de là dans les terres (pour voir sur la carte : http://maps.google.fr/maps?f=q&hl=fr&q=Hopeland+WA,+Australie&ie=UTF8&cd=2&geocode=0,-32.364427,115.901277&ll=-33.706063,115.905762&spn=4.432268,9.887695&z=7).
On y est allés pour repérer la route et on n’en est pas ressortis ! Non, ils ne nous ont pas kidnappés mais il s’avère qu’on peut dormir sur place gratos ! Comme pour la ferme de framboises en Tasmanie, on a des installations parfaites : parking pour dormir (celui de l’entreprise), petit jardin pour s’étendre au soleil, cuisine toute équipée et toilettes avec lavabo. Ne manque que la douche – un peu gênant, mais on peut aller aux douches chaudes du camping à 10 kms(euh… en fraudant) ou à celles froides de la plage à 15 kms (et là, c’est autorisé).
la cuisine - frigo, micro-ondes, four, rangements
et la terrasse très chouette pour se détendreOn a rencontré 2 Québécoises qui bossaient là jusqu’au lendemain et qui nous ont bien revendu le boulot en nous disant que c’était super relaxant, que tout le monde était gentil et qu’elles seraient bien restées plus longtemps si elles ne terminaient pas leur périple australien. On a donc passé la soirée à 4 à discuter avant d’aller dormir assez tôt, histoire d’attaquer la 1e journée de boulot le lendemain en forme…
Les 2 Québécoises - Marie (en noir) et Anne-Marie - et FX
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